Evénements des « Grignoux », à Liège et à Namur, jusqu’au 09 Septembre

- Ce lundi 03 septembre, à 20h15, au « Caméo », à Namur, la projection étant suivie d’une rencontre sur la transidentité, avec Laurane De Graux, assistante sociale pour l’asbl « Tels Quels », et Maxence, vice-président de la « Maison Arc-en-Ciel », à Namur, chargé de projet pour l’asbl « Les Cheff » : « Coby » (Christian Sonderegger/Fra./documentaire/2017/77′).
- Ce même lundi 03, à 20h, au « Churchill », à Liège, la projection étant suivie d’une rencontre avec Benjamin Hennot, le réalisateur : « Stan & Ulisse, l’Esprit inventif » (Bel/2018/63′). A souligner que ce film sera repris, en séances ordinaires, dans ce même cinéma, à sept reprises, entre le jeudi 06 et le mardi 18.
- Ce samedi 08, à 21h30, au « Sauvenière », à Liège, projection gratuite, en plein air (prévoir un vêtement chaud et venir tôt assez, les places étant limitées) : « La La Land » (Damien Chazelle/ USA/2016/128′).
« La La Land »
Damien Chazelle commence à travailler sur le film alors qu’il étudie à l’ « Université Harvad », avec son meilleur ami et colocataire, Justin Hurwitz, qui compose, quant à lui, la bande originale du film. Peu après avoir achevé leurs études, ils déménagent tous deux à Los Angeles en 2010 et continuent à travailler sur le scénario du film en modifiant quelques éléments du récit, ainsi, l’action se situe désormais à Hollywood et non plus à Boston.
» ‘La La Land’ se mue aussi en réflexion sur l’art et le succès, à travers ses deux personnages principaux : la réussite n’est-elle acquise que pour ceux qui entrent dans le moule ? Damien Chazelle tourne en ridicule les schémas habituels hollywoodiens (les auditions à la chaîne, avec des comédiennes qui semblent clonées) et les normes dans l’industrie musicale (pour gagner sa vie, Sebastian est condamné soit à jouer ‘Jingle Bells’ sous les ordres d’un patron tortionnaire » (« Les Grignoux »).
Synopsis : « Toby Grisoni, un réalisateur de pubs désabusé, se rend en Espagne, pour le tournage d’une publicité. Il y rencontre un gitan qui lui offre une copie d’un film de jeunesse, une adaptation lyrique de l’histoire de Don Quichotte, que Toby avait réalisé dans la région il y a une dizaine d’années. Ému de cette redécouverte, Toby part à la recherche du petit village de Los Sueños où il avait tourné ce film. Il se trouve mêlé à toute une suite de catastrophes… »
… Le rapport que Jean Rochefort entrenait avec les chevaux faisait donc de cet acteur français l’interprête idéal de Don Quichotte. Fort malheureusement, souffrant d’une double hernie discale, il dut, en plein tournage, renoncer, à tout jamais, de remonter à cheval, provoquant ainsi l’arrêt de la première réalisation du film du Britannique Terry Gilliam (né Terrence Vance Gilliam), qui a donné son nom à … un astéroïde, baptisé « 9619 Terrygilliam », bien après avoir été le réalisateur de « Brazil » (U.K./1985/142’/avec Robert de Niro et Jonathan Price/film lauréat des Prix du meilleur Film, du meilleur Réalisateur et du meilleur Scénario, octoyés par la « Los Angeles Film Critics Association »).
« C’est une oeuvre qui transpire l’amour du cinéma. Un film qui aurait parfaitement pu exister à l’ère du muet. Véritable film qui raconte la passion d’un conteur… Ce n’est pas qu’un simple film d’aventure. C’est un film qui parle du cinéma. Difficile de ne pas voir en Toby, jeune réalisateur désabusé, forcé de réaliser uniquement des publicités, un autoportrait de Terry Gilliam. Adam Driver dans le rôle de ce cinéaste cynique est parfait. Cynique, telle est la façon dont on pourrait qualifier la vision de l’industrie du cinéma selon le réalisateur. Le conteur nous fait voir une industrie fermée d’esprit, manquant de culture, uniquement concentrée sur l’argent, rares étant ceux qui semblent connaître le livre de Cervantès, ‘Don Quichotte’… » (« Just Focus »)
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