Teun Voeten entre en dialogue avec Françoise Schepmans sur l’avenir de Molembeek. #bruxelles #molenbeek #MRbe #islam #islamisation

MOLENBEEK
Teun Voeten vient de rencontrer Françoise Schepmans. Une rencontre un peu surréaliste entre un très connu photographe de guerre néerlandais et la nouvelle bourgmestre de la commune dans laquelle Teun Voeten a longtemps vécu mais où il ne pourrait plus vivre aujourd’hui.
Comme une histoire d’amour qui s’est terminée, un fil irréparablement cassé entre le photographe qui a été aux 4 coins du monde et Molenbeek qu’il aimait. Teun Voeten, loin du politiquement correct explique que Molembeek est devenue une commune où le centre n’est plus habité que par des personnes d’origine marocaine dont bon nombre se radicalisent dans la pratique d’un islam qui devient salafiste et où il ne ferait pas bon d’afficher, par exemple un drapeau américain alors que Teun Voeten explique qu’il aime bien les States.
Il explique qu’à Molenbeek les problèmes socio-économiques d’une commune difficile sont rejoints par des problématiques de nature politico-religieuse et il parle d’ « impérialisme islamique » dans cette ville. Teun Voeten précise que Molenbeek est devenue une « enclave ethnico-religieuse ». Des mots très forts qu’il prononce pour faire avancer le débat.
Teun Voeten dénonce une monoculture dans le centre de Molenbeek, il précise même: « Il y a toujours plus de salafistes ici, ce que je ne vois pas au Moyen-Orient ! », lui qui a bourlingué dans de nombreux pays du monde et se défend de tout racisme. Il est plutôt un citoyen universel.
La bourgmestre Françoise Schepmans (MR) ne rejette pas les propos de Teun Voeten. Elle est même plutôt d’accord avec lui. Elle les nuance en précisant que tous les quartiers de Molenbeek ne ressemblent pas au centre-ville. Et qu’effectivement selon elle, il y a au centre-ville de Molenbeek une problématique affligeante de radicalisation religieuse de la population qui y vit.
Françoise Schepmans jette ouvertement la pierre sur son prédécesseur, Philippe Moureaux (PS), dont les liens avec la communauté marocaine sont connus. Selon elle, Philippe Moureaux « parlait de Molenbeek comme d’un laboratoire. « Je ne vois pas ma commune comme cela » précise la nouvelle bourgmestre.
Au contraire, Françoise Schepmans a précisé que le nouveau collège prendde nombreuses mesures, notamment urbanistiques pour mettre fin à cette situation problématique.
MDD
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