Connaître mieux et aimer Israël !

En ces temps de disette, les peuples d’Occident sont quelque peu paumés : les jeunes ronchonnent « no future », les « anciens » rêvent du passé et le présent n’est un cadeau pour personne ! On râle, on grogne, on explose, on refait le monde au coin d’un comptoir… mais on stagne dans le logos sans oser prendre les choses en main car tout un chacun est désorienté…. « Désorienté » ! Il nous faudrait justement nous replonger dans nos sources, dans ce Moyen-Orient d’où est issue la civilisation judéo-chrétienne qu’aujourd’hui, par paresse, nous avons cessé d’embellir. « Fait et comprend ensuite », dit la sagesse hébraïque, mais nous voulons comprendre avant de lever notre petit doigt et, comme tout va si vite, les « Pic-de-la-Mirandole-en-devenir », sans jamais prendre sur eux pour agir, restent assis au bord des fleuves d’Internet, pleurant devant leur flux trop abondant.
A l’horizon, cependant, une entité barbare se lève. Elle ne réfléchit pas mais tue, viole, crucifie, décapite, conquiert les âmes par l’effroi, réduit ses prises féminines à l’esclavage. Face à ce danger, la plupart des nôtres se sentent rouillés devant cet anti-Occident et, la larme à l’œil, s’apprêtent fatalistes à passer l’arme à gauche… nos dirigeants se refusant à faire résonner l’alarme du tocsin. Que peuvent donc faire les « vrais gens » pour se défendre quand ils sont trahis par leurs leaders politiques, financiers, et que l’ennemi a déjà placé ses taupes en cinquième colonne au coeur de notre société, y recrutant même nombre de ses assassins tarés ?
La solution est logique ! C’est aux marches de l’Europe, proches du champ de bataille, que nous devons nous déplacer pour y arrêter l’avancée de l’agresseur. Oh ! Il n’est pas question d’organiser des « Brigades internationales » – Nous n’en avons ni la capacité militaire, ni même la force psychologique ! – mais il est un petit pays qui, lui, résiste contre vents et marées, un endroit où coule le lait et le miel, et que nous pouvons aider par notre présence physique dans un volontariat civil qui lui permettra de libérer ses soldats pour effectuer des missions plus adéquates à leur entraînement de combattants. Quel que soit l’âge (Enfin… disons de 17 à 77 ans !), Sar-El (Abréviation de Shirouth léIsraël – Service pour Israël) offre un séjour de trois à six semaines – entrecoupées d’activités récréatives permettant, au travers d’une expérience personnelle très enrichissante, non seulement de tisser des liens basés sur la fraternité et l’émotion intense mais aussi de connaître Israël de l’intérieur, de saisir toute la pureté morale qui sous-tend l’esprit des Forces de Défense d’Israël, de (re)découvrir les racines profondes du Peuple hébreu – et ce, au sein de bases toujours en zones sécurisées éliminant les risques. Logés et (très bien) nourris gratuitement, intégrés parmi d’autres volontaires parlant votre langue (Les groupes, femmes et homme sans exclusive religieuse, peuvent être de dix à cinquante personnes en fonction des arrivées), le travail (léger et adapté aux capacités physiques) qui y est demandé en échange peut varier entre la préparation de repas et de caisses de ravitaillement, le pliage de parachutes, la soudure, la couture, parfois la peinture, des réparations de pièces, etc. Last but not least – Car en apportant votre pierre à l’édifice de la continuité et la survie de l’Etat juif, un réconfort moral à ses soldats de par votre présence à leurs côtés, ainsi qu’une aide économique considérable à Israël en permettant le remplacement de réservistes qui sont forcés d’abandonner régulièrement famille et travail pour défendre les frontières, vous le mériterez largement ! – vous aurez l’honneur de porter toute la semaine durant le prestigieux uniforme de « la meilleure armée du monde » (Waouwww ! L’effet des selfies devant les amis : on vous dira « Israël, 2015 ! », vous leur montrerez « J’en étais » et, dans une mimique d’appréciation, ils répondront « Voilà un brave ! »), uniforme qu’enthousiasmés par votre expérience, vous reviendrez revêtir joyeusement années après années.
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