« NOIR C’EST NOIR » : DEGOÛT ! …ET DES COULEURS, IL FAUT EN DISCUTER CAR J’EN « JAUNIS A L’IDEE ».

Ne chantez plus la chanson de Johnny « Black is black »… ou ne la chantez que selon les circonstances en y réservant des blancs en fonction du fait que ceux visés proviennent, ou non, de la racaille ou des forces de l’ordre. C’est ce qui ressort des derniers éléments de l’enquête sur « l’Affaire Traoré » et le décès inopiné du délinquant prénommé Adama. Par rapprochement avec « l’Affaire George Floyd » aux Etats-Unis et les émeutes, pillages, assassinats du mouvement des Black Lives Matter – qui se drape dans les oripeaux de « l’antiracisme » pour justifier ses crimes – on voit dans nos rues européennes un tas de gauchistes bobos hurler « contre le racisme de la police ».
Les deux affaires sont, en effet, à rapprocher l’une de l’autre mais… pas en fonction de l’optique des médias aux ordres et des politichiens défenseurs appointés du désordre établi. Car, outre le fait que les deux « victimes » sont décédées suite à un ACCIDENT (Un accident est un événement, généralement non souhaité, aléatoire et fortuit, qui apparaît ponctuellement dans l’espace et dans le temps, à la suite d’une ou plusieurs causes, et qui entraîne des dommages vis-à-vis des personnes, des biens ou de l’environnement) faisant suite à une résistance violente lors d’une interpellation légitime par les forces de police, la semblable « origine ethnique » des deux malfrats n’a rien à voir – quoique certains essayent de le faire accroire – dans ces événements.
En effet, il est à présent avéré que – dans l’affaire Traoré – deux des policiers mêlés à l’interpellation contestée étaient Antillais, donc Français mais « issus de la diversité » ! Ils ne peuvent donc qu’être blancs comme neige face à l’accusation de « racisme ». De plus, comme dans « l’Affaire Floyd », la « victime » n’est pas décédée d’une « asphyxie positionnelle » mais est décédée suite à des complications médicales subséquentes à une santé cardiaque fragile et antérieure.
Gris de rage de voir leur complot antisystème démocratique mis à mal, les « journalistes » aux ordres du gauchisme libéral (souvent, comme les émeutiers, financés par le clan Démocrate George Soros, Hussein Obama, Joe Biden, de la Fabian Society) se sont échinés à cacher au bon peuple la noble origine antillaise de deux des policiers « impliqués » dans « l’Affaire Traoré » ainsi que – dans « l’Affaire Floyd – le fait, entre autres, qu’aux Etats-Unis les « professionnels antiracistes » ont abattu David Dorn – un ancien policier à la retraite issu de la communauté noire – le 2 juin dans la ville de Saint-Louis, alors qu’il tentait de protéger un commerce des pillages (Que sa mémoire soit bénie et que D-ieu venge son sang !) Ils cachent aussi que, en Virginie, des extrémistes et des émeutiers ont mis le feu à une résidence familiale avec des enfants à l’intérieur et ont ensuite tenté d’empêcher les pompiers d’intervenir pour sauver l’un des gosses bloqué à l’intérieur de la maison en flammes.
Il faut donc en conclure que, dans l’esprit des racailles, self-instituées « défenseurs de la race noire » qui se grisent de mots vides de sens, ce n’est pas la couleur de peau qui fait attestation de l’origine ethnique mais « la haine du blanc, de la Loi et l’amour de l’anarchie ». C’est d’ailleurs ce que disait publiquement Joe Biden, le candidat américain à la présidence des Etats-Unis, qui – à un citoyen américain d’origine africaine qui déclarait qu’il voterait Républicain – a répondu : « Si vous votez pour Trump, alors vous n’êtes pas noir ! »
« Je suis noire mais je suis belle, ne prenez pas garde à mon teint noir c’est le soleil qui m’a brûlée » disait la « fiancée » dans le Cantique des Cantiques et, pour ma part, j’adore cette phrase comme j’adore le slogan culturel américain des années 60 « Black is beautiful »… pour peu que cela représente un fait et non un racisme politique à rebours !
Dans la société soi-disant « multiculturelle » actuelle, noir n’est plus noir pour les bobos gauchistes que s’il s’agit d’un noir de charbon incandescent qui est pyromane et met le feu partout. Pour moi, que l’on soit « noir », « jaune », « blanc » ou même « peau rouge », toutes les couleurs sont « beautiful » car c’est la beauté du cœur qui compte le plus… et je continuerai à chanter n’en déplaise à ceux qui métamorphosent le poids des mots par le choc des photos truquées :
Pour sauver notre amour
Tout jusqu’au bout
Si un mot peut tout changer je le trouverai
Oh, il ne faut plus en douter, il faut essayer
Noir c’est noir
Il n’est jamais trop tard
Pour moi du gris
J’n’en veux plus dans ma vie, oh, oh
Ça me rend fou
De perdre ton amour
Je te l’avoue
Maintenant pour le sauver à tout je suis prêt
Oh, à l’instant de la vérité pourquoi en douter?
Noir c’est noir !
Yéh’ezkel BEN AVRAHAM
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