PAUVRE MARTIN, PAUVRE MISERE
Ainsi devait soliloquer Martin Schulz, au vu de l’avis du comité consultatif du Parlement européen qui a estimé que Louis Michel « n’a pas respecté le code de conduite de l’assemblée » ! Ployant sous le faix de sa charge présidentielle, il savait bien que « un homme n’est jamais soupçonné d’une chose s’il ne l’a pas faite au moins en partie, sinon c’est
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