Brussels Star

 

 

 

 

 

 

Voici le citoyen bruxellois confronté pour la première fois à l’occupation d’une rue par des mahométans. Cette pratique est monnaie courante à Paris, à Milan notamment mais à Bruxelles c’est la première fois. De plus, on remarquera que cette pratique est tolérée, sinon encadrée et encouragée par les autorités locales.

Qu’en penser ?

1. Sur le plan légal, des mahométans occupent une rue pour des fins autres que la circulation des piétons, cylistes et automobilistes. Chaque semaine, à heures fixes cette rue es bloquée pour l’usage exclusif d’une communauté. De plus, cela se fait avec la bénédiction des autorités communales qui met à disposition de cette communauté des agents de police qui empêchent le passage. Les autorités communales restent-elles bien dans leur rôle? La question mérite d’être posée

2. Sur le plan de la coexistence des communautés, les démonstrations ostentatoires de la foi des mahométans sur la voie publique ne feront qu’irriter les belges qui ne partagent pas cette foi et voient leur quartier transformé chaque vendredi avec, de plus, la bénédiction des autorités communales. Alors que les églises sont vides et que les catholiques n’organisent plus de processions, alors que les juifs restent bien  dans leur synagogue pour prier, l’Islam, de par l’immigration massive connaît chez nous de plus en plus d’adeptes et prend une place toujours plus importante dans notre paysage quotidien et dans notre société. N’appartient-il pas aux pouvoirs publics d’observer une stricte neutralité et une égalité totale entre les citoyens, dans un pays libre qui reconnaît les cultes mais n’est pas un pays ou l’Islam est religion d’Etat. Permettre chaque vendredi l’exercice d’un culte sur la voie publique en le protégeant avec l’aide des forces de police ressemble à l’assimilation pure et simple de ce culte à une religion d’Etat. L’Islam n’est pas religion d’Etat chez nous et ne mérite donc à ce titre aucun statut particulier.

 

 

MD DESNERCK