L’impôt du sang sue par tous leurs porcs !
LE BILLET DE POL HÉMICKH
Le billet de POL HEMICK qu’il présente régulièrement, donnant son avis de polémiste et de critique sur l’actualité de notre pays, toujours avec humour.
Nous connaissons tous cette charmante coutume exotique de l’Aïd el Kébir, consistant pour chaque famille musulmane à égorger annuellement un mouton. Bien que celle-ci choque la majorité de la population autochtone de notre pays, nos politiciens se drapent dans leurs oripeaux droit-de-l’hommistes pour y aider, invoquant la sacro-sainte « Liberté de culte » !
Certes ! S’il s’agissait d’une obligation religieuse, les « devoirs » de l’humain passant avant le bien-être de l’animal, il n’y aurait pas grand-chose à dire pour s’y opposer…sinon, peut-être le fait que n’est pas abatteur qui veut et que la mise à mort par tout un chacun peu se révéler une véritable boucherie plus proche du massacre des Yazédis par les islamistes que d’un rite sacerdotal bien compris tenant compte de la souffrance animale. Il serait si simple de légiférer, d’exiger – moyennant de fortes sanctions – que les sacrificateurs ne puissent exercer ce sacerdoce que moyennant une connaissance parfaite, sanctionnée par un diplôme, de l’anatomie des ovins. Que, de plus, la vente d’animaux destinés à la consommation ne puisse avoir lieu qu’entre professionnels et que leur mise à mort ne puisse se dérouler que dans des abattoirs réguliers et non en des lieux provisoires, généralement mis en place dans des conditions sanitaires douteuses, souvent même illégalement car sans enquête préalable commodo-incommodo. Mais… « Ah là, là ! (Allah là ?) Il ne faut pas mécontenter ni l’Exécutif des, ni les exécuteurs, musulmans » s’exclameront nos élus, en invoquant les « prescrits de l’islam ».
Et pourtant ! Pourtant, un récent article (8 mars 2015 – http://bruxellois-surement.blogspot.be/2015/02/main-basse-sur-le-reseau-des-pompes.html) du « Bruxellois, sûrement ! » ouvre, bien involontairement, la question. En effet, selon ce blog mahométan – bien connu pour son opposition à l’islamisme politique – « une fatwa contre la commémoration du sacrifice musulman en Belgique » serait en préparation par l’EMB (Exécutif des Musulmans de Belgique). Celle-ci soutiendrait une campagne d’information destinée aux fidèles de Mahomet de notre pays, leur proposant de renoncer à l’abattage rituel de l’Aïd pour, en lieu et place, verser la somme prévue à cet effet à deux organisations (Islamic Relief et Diyanet) proches des Frères musulmans, paravents financiers – entre autres – des djihadistes du Califat islamique. « Honest Iago ! » aurait dit Shakespeare. Ainsi, s’affublant du masque de la protection des animaux, les adeptes de « l’hisse lames » encaisseraient des fonds servant plutôt à égorger les « infidèles » et à faire la guerre à l’Occident. Merci à l’EMB qui ne se gêne pas, d’un autre côté, pour empocher les subsides de l’Etat belge… Un tour de cochon : l’impôt du sang des troupes de DAESH se suce sur le corps même de ceux qui en sont les victimes !
Mais là n’est pas seulement le problème : si l’Exécutif des Musulmans de Belgique peut, avec l’aval des mahométans les plus extrémistes, dispenser ses fidèles du « Sacrifice », il faut donc en déduire que ce massacre à grande échelle n’est pas une obligation pour ceux qui croient dans le Coran. A quoi donc, alors, rime la permissivité dont les autorités belges font preuve quant à cette pratique barbare ? N’étant pas une obligation cultuelle, la souffrance animale ne doit-elle pas céder le pas à des dévotions moins bestiales ?
Quelque imam soutiendra peut-être que cette exemption ne peut se faire que moyennant le versement d’un « rachat ». Soit ! Mais alors que les sommes récoltées soient versées sur un compte contrôlé par un organisme indépendant des diverses factions musulmanes (l’Etat belge par exemple), que les mouvements de ces fonds soient contrôlées par la Cour des Comptes et que ce bel argent ne profite qu’à l’amélioration de l’islam en Belgique. Après tout, pourquoi ne pas le consacrer à la déradicalisation des returnees d’Irak/Syrie et de ceux qui essayent d’aller, au cri de Allah houakbar, égorger le kafir et salir, par « amalgame », la réputation de ce que certains qualifient de « religion de paix et d’amour » ?

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